Lever à 7 h 30 - Température : 16° - il fait beau.
Les motos se préparent, donc il y a un peu de bruit, un peu tôt pour nous.
Départ du cross à 9 heures, puis plus de bruit. Il y avait beaucoup de motos au départ.
Nous nous préparons notre départ pour les Chutes d'Igaçu côté Argentin.
Nous traversons le Parc Provincial Uruguai.
Nous apercevons une sorte de lézard qui est très craintif.
Avec l'autorisation des 2 gardes du parc, nous avons pu l'approcher et prendre la photo
Nous sommes bien sur la bonne route pour IGACU
Antoine va voir à pieds, le chemin n'est pas très bon, il y a des trous et d'immenses flaques d'eau.
Au retour, Antoine dit, j'ai trouvé le camping, c'est OK on peut y aller. Il fait nuit, on slalome entre les trous et les flaques d'eau, le camping car est rouge de boue, mais nous sommes bien arrivés.
Il y a deux autres campings cars Argentins.
Nous nous installons sous des arbres, car demain Maya va rester dans le camping car une bonne partie de la journée.
Lundi 13 Novembre 2017
Lever à 7 h 30 - Température : 17°
Nous nous préparons et partons à 9 heures pour les Chutes d'Igaçu.
Nous laissons Maya, dans le camping car qui est à l'ombre
et partons à pieds pour aller prendre le bus. Une voiture de la Municipalité s'arrête et nous propose de nous emmener pour le même prix que le bus.
Nous arrivons au parc à 10 heures
prenons les billets d'entrée, regardons la présentation du parc à l'entrée
puis suivons le chemin pour aller prendre un petit train qui va nous emmener à la gare centrale,
nous apercevons un toucan sur un arbre
Antoine prend le plan et nous suivons le sentier qui va nous emmener aux chutes
(où il y a beaucoup d'eau : blague d'Antoine).
C'est une des 3 plus grandes chutes d'eau du Monde : Igaçu, Niagara et Victoria.
Nous prenons plusieurs sentiers pour les voir de tous les côtés.
C'est impressionnant, il y a d'énormes masses d'eau.
Dans les guides on nous dit qu'il faut prendre des kway, on en n'a pas eu besoin, ils sont restés au chaud dans les sacs à dos, et qu'il y aurait un vacarme assourdissant, Antoine (Papy) n'a pas eu besoin de mettre ses boules caisses.
Casse-croûte à midi sur un banc à l'ombre en compagnie d'oiseaux.
Puis nous apercevons le long des sentiers, tout ce petit monde qui cohabite dans le parc :
des papillons
des coaties
des hirondelles "dit Papy"
en réalité c'est un arbre remplit d'épines
et des sortes de lézards
Nous reprenons le petit train pour le retour à 18 heures, puis le bus, arrivée au camping à 18 h 30,
Le camping car était toujours à l'ombre et il ne faisait pas trop chaud pour Maya, elle était contente de nous revoir.
Mardi 14 Novembre 2017
A 8 heures - Temp. ext. : 17°
à 10 heures il fait déjà 22°
Nous reprenons la route vers le Brésil pour aller voir les Chutes d'Igaçu côté Brésilien.
Le passage des douanes se passe bien, nous prenons l'habitude, nous avons nos deux tampons, tout va bien.
Un peu plus loin, nous voyons un immeuble indiquant Cambio (Banque) nous y allons pour demander le taux de change au Brésil.
Juste à côté il y a un stand de vente de maillots, nous en trouvons chacun un et Antoine trouve aussi une prise électrique internationale.
Maintenant nous cherchons l'Office du Tourisme pour avoir un plan de la ville. On se gare,
on le cherche mais on ne le trouve pas, on rentre dans un bâtiment on nous répond qu'il n'existe plus, la personne très sympa nous en donne un qu'elle a.
Après avoir fait quelques courses nous cherchons le camping, nous le trouvons mais à la nuit.
C'est le camping hôtel PAUDIMAR.
Nous y allons, le patron fait avec nous le tour du camping, puis nous nous installons.
A 21 heures il fait encore 28°.
Mercredi 15 Novembre 2017
A 7 h 45 il fait 17°
Nous nous préparons pour aller voir les Chutes d'Igaçu côté Brésilien.
Nous partons à 9 heures à pieds, prenons le mini-bus devant le camping
qui nous emmène jusqu'à la route nationale où de là nous prenons le bus qui doit nous emmener jusqu'au parking du site. Au bout de quelques minutes, on se rend compte que l'on ne va pas dans le bon sens, nous demandons au contrôleur qui nous dit que l'on va à la Ville. Il nous dit de rester dedans quand même que le bus arrivé au terminus repart dans l'autre sens. Nous avions suivi 4 autres personnes depuis le camping. Nous avons perdu 1 heure mais sommes bien arrivés finalement au parking des chutes à 10 heures 30.
Nous prenons nos billets à un distributeur avec l'aide d'une hôtesse (celà va bien plus vite que par la caisse normale, où il y avait beaucoup de monde) mais il faut payer avec la carte bancaire.
Nous sommes ensuite dirigés ver un bus à 2 étages, nous montons au 2ème, en plein air.
On descend au 2ème arrêt et suivons le chemin qui nous emmène aux Chutes.
Un coatie sur le chemin, à l'affût de nourriture
Nous nous faisons prendre en photos pour avoir le calendrier souvenir (dommage c'est pour l'année 2017).
Des chutes de tous côtés, on ne sait plus où prendre des photos
Pour nous, ce côté là est plus beau, plus grandiose que du côté Argentin, nous avons une vue d'ensemble plus impressionnante.
Nous serons mouillés en allant sur le promontoire
Le promontoire vue du haut
Malgré la douche, la noix de coco ça rafraîchit aussi
Ce n'est pas un crocodile, c'est un lézard géant qui se promène en toute liberté
Nous allons ensuite vers les boutiques, prenons en photo la statue de Santos-Dumont qui est dans le parc.
Puis retour au bus, nous descendons au 1er arrêt pour aller visiter le Parc des Oiseaux "Parque Das Aves"
Il est très grand avec beaucoup de sortes d'oiseaux, plus beaux les uns que les autres.
A 16 h 30 nous reprenons le bus du retour, arrivés au bout du chemin qui va au camping, nous descendons pour reprendre un mini-bus. Nous l'attendons lorsqu'un mini-bus s'arrête, nous demande ou l'on va et nous embarque. En fait ce n'est pas celui qui fait la ligne, ce sont des allemands qui vont au camping aussi. Nous discutons tant bien que mal, ils sont très sympa.
Arrivée au camping car, nous sortons Maya qui a un peu chaud, il fait 32° dedans.
Je vais prendre une douche et emmène Maya avec moi (pour prendre sa douche).
A 21 h 30 il fait encore 30° et il fait lourd.
Jeudi 16 Novembre 2017
A 8 heures il fait 20°.
Nous dormons assez bien car il fait plus frais la nuit.
On se prépare et quittons le camping à 10 heures, il fait déjà 26° dans le camping car, la température monte vite.
Nous traversons la ville d'Igaçu et prenons la direction du PARAGUAY.
Passage de la douane 45 minutes plus tard. Formalités rapide, il suffit de trouver les bons bureaux.
Après avoir fait du change et quelques courses dans une grande surface, nous roulons jusqu'à midi, puis nous recherchons un endroit à l'ombre pour déjeuner, il fait 35.5°. Déjeuner rapide, car en roulant il fait plus frais, avec la clim.
Nous allons en direction d'ASCUNCION.
Ils préparent aussi Noël, ce sera un Noël chaud, on sera en été
On a été attiré par des femmes qui portaient qui gros sacs de "linge" sur la tête ?
Nous nous arrêtons pour voir, et en fait ce sont des petits pains qu'elles gardent au chaud et qu'elles transportent comme ça.
Nous les avons goûter, ils sont très bons
Des petites chaises en bois pour enfant, vendues le long des routes.
Nous voulons nous arrêter sur le bas côté mais devons faire attention de ne pas s'embourber car nous venons d'avoir un bel orage avec beaucoup d'eau.
En soirée, nous recherchons à nouveau un endroit pour se poser. Pas de camping.
Nous nous arrêtons devant un hôtel avec l'accord du patron, nous sommes au bord d'une route nationale.
Vendredi 17 Novembre 2017
A 8 heures il fait déjà 28°. Il fait gris mais le soleil n'est pas loin.
Nous avons eu un bon coup de tonnerre vers 7 h 30 ce matin, on a sursauté et tout a vibré.
Nous nous préparons pour aller à ASCUNCION, la capitale du PARAGUAY.
Il y a plusieurs péages sur la route, un à Oviedo et un autre à Spacani.
Nous nous arrêtons devant une église pour déjeuner, petite visite.
Nous avons un nouvel orage pendant le déjeuner, il fait lourd : 28.4° avec le ventilateur.
A 14 h 30 nous repartons, nous passons la frontière de l'ARGENTINE à CLORIENDA.
Tampons sur les passeports, une femme de Ministère du Tourisme nous accoste et nous remet
de la documentation sur le pays.
Prise de photos et nous avons été filmés.
Visite du camping car par les douaniers, plutôt de la curiosité qu'autre chose.
Arrêt à CLORIENDA à côté d'un parc et d'une église, où nous avons demandé pour rentrer dans l'enceinte paroissiale, mais on nous a répond que le Patre n'était pas là et qu'il n'y a que lui pour nous donner l'autorisation. Nous restons le long du trottoir devant l'ensemble paroissiale.
Samedi 18 Novembre 2017
A 5 heures du matin, nous décidons de partir car nous avons eu du bruit toute la nuit. Des voitures, de la musique à fond, des jeunes qui cirent.
Nous faisons 62 kms sans trouver d'endroit pour se poser.
Nous tombons en panne d'essence, Antoine pensait qu'avec la réserve on pouvait faire au moins 30 kms et bien non. Nous nous arrêtons sur le bas côté d'une route nationale, et partons à pieds jusqu'au Poste de Police que l'on venait de passer, à 500 m.
Un policier met des cônes au milieu de la route comme pour faire un contrôle et arrête une voiture qui emmènera Antoine., avec une jerrican, 30 kms plus loin à une station service. Moi je l'attends au poste de police avec Maya.
Les policiers appellent leurs collègues qui sont vers la station d'essence qui feront la même chose.
Antoine revient 3/4 d'heure après avec 2 gars super sympas dans un 4x4 et avec sa jerrican pleine.
Ils visitent le camping car et repartent. Antoine met les 10 litres de gasoil dans la réservoir.
On a eu du mal de redémarrer, après 4-5 tentatives, il purge le bocal du filtre à gasoil et enfin il redémarre.
Nous faisons 40 kms pour aller à la station faire le plein, et c'est reparti jusqu'à FORMOSA.
A l'avenir on se méfiera, mais vu la nuit que l'on avait passée, on n'était pas très en forme.
A FORMOSA nous nous arrêtons devant la bibliothèque avec l'accord d'un policier, cherchons un magasin CLARO pour acheter un chips pour avoir internet.
Puis, nous continuons notre route jusqu'à RESISTENCIA où nous trouvons un camping.
RESISTENCIA est une capitale provinciale à la lisière de l'étendue sauvage du CHACO (où il y a des groupes d'indiens : les TOBA du Grand Chaco qui forment l'un des plus grands groupes indiens du pays.
Nous n'irons pas les voir car il y a trop de kilomètres à faire.
1 commentaire:
Coucou c'est magnifique, quelle chance vous avez !
Vous avez rencontre mes homonymes, des COATIES, quoi des KoATYS, t'enlève le o et c'est tout moi ! Enfin, ils étaient certainement gentils, intelligents mais pas très beaux !!!
Bisous
Katy
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